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« Red Roses » (Roses rouges) par l'artiste chinois Yang Ermin. [Photo provided to China Daily] |
Il y a eu t oujours un lien fort artistique entre Paris la France et la Chine.
Les artistes chinois, y compris comme Xu Beihong, Wu Guanzhong et Lin Fengmian y ont étudié et ont apporté en Chine des techniques et des concepts de peinture française. Chacun de ces noms du dernier siècle a eu une grande influence sur l'histoire de l'art chinois.
Près d'un siècle plus tard De nos jours, l'artiste chinois Yang Ermin, dont le style distinctif qui donne au lavis d'encre traditionnel une esthétique moderne, tient à récompense Paris une exposition personnelle intitulée Yang Ermin, œuvres au lavis.
L'exposition, tenue à la mairie du 12e arrondissement de Paris au 130 avenue Daumesnil jusqu'au 29 octobre, comprend également ses dernières œuvres de la sculptures.
Contrairement à la peinture traditionnelle chinoise au lavis d'encre, des tableaux au lavis polychrome de Yang Ermin, avec des coups de densité différente de l'encre, ont des couleurs vives comme peintures à l'huile. La seule différence est qu'En plus, il peint sur du/le papier de riz fragile au lieu de toiles durables.
Selon Bbeaucoup de critiques, concluent que Yang Ermin a dû être influencé par les écoles et artistes occidentaux parce qu'ils voient des traces, mais le créateur dit que l'art occidental n'a pas de si grand impact sur ses œuvres sont peu influencées par les artistes occidentaux . Parfois, elles se ressemblent tout simplement par hasard, et c'est la réformece sont les changements de la société qui l'influence vraiment.
« Voilà ce qui constitue mon travail.Là, c'est bien l'environnement où je travaille. La construction de l'art dans cette la société moderne définit l'artiste individuel. »
Catherine Baratti-Elbaz, maire du 12ème arrondissement de Paris, estime que l'exposition de Yang Ermin apporte une nouvelle forme d'art au public français. « L'art de Ermin est sans frontières. Les montagnes, les fleurs et les silhouettes qu'il peint appartiennent à un artiste du monde, non pas celui seulement de la Chine. »
« Bien qu'il adopte les techniques et les textures d'encre, ses œuvres présentent un nouveau concept qui reflète la société moderne par le biais d'une langue d'art noble, élégant et unique. Nous avons de la chance d'apprendre une nouvelle forme d'art et un artiste chinois d'avant-garde», dit-elle à la cérémonie d'ouverture de l'exposition.
« La communication entre la Chine et le monde devrait s'approfondir au-delà des discussions superficielles », dit l'artiste de 52 ans. « Je renforce depuis longtemps ma langue d'art , et essaie de briser des chaînes de mon esprit. L'âme de l'art, c'est lLa liberté est l'âme de l'art».», dit l'artiste de 52 ans.
Cependant, cCertains critiques en Chine voient toujours dans ses œuvres un considèrent toujours son travail plutôt au « style occidental ». Selon eux, Il utilise des couleurs d'une manière qui les rend conciliants et non contradictoires.
« Si je m'attache à l'encre, c'est évidemment pour son caractère brumeux et implicite. Nous ne voulons pas perdre aucune de notre saveur traditionnelle chinoise, comme les contours doux des visages et des figures orientales, ou l'arôme léger du thé », dit-il dans une interview précédente avec China Daily.
